IAC +++ Cogitons sur les hypothèses de succès pour bébé(s) en bonne santé

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EmyLou

Fivette bannie

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Pathologies maternelles et grossesse
https://livre.fnac.com/a7714854/Alexand ... -grossesse

Les importantes avancées médicales de ces dernières années ont permis à de nombreuses patientes atteintes de pathologies chroniques d'accéder à la grossesse. Ces mutations du monde médical ont notamment influencé le mode de travail des gynécologues-obstétriciens qui ont été amenés à prendre en charge ces patientes de manière plus régulière.
Au cours de leur grossesse, ces femmes seront suivies à la fois par le médecin spécialiste de la pathologie et par un médecin obstétricien. Il faut donc que le gynécologue habituellement en charge de la patiente puisse avoir un accès rapide et clair aux informations concernant la pathologie dont souffre cette dernière.

Cet ouvrage doit pouvoir répondre à toutes les questions que peuvent se poser les personnes en contact avec la patiente malade : la grossesse est-elle envisageable ? Quels éléments vont devoir faire l'objet d'une surveillance chez la patiente et le fœtus ? Cette grossesse va-t-elle impliquer une modification du traitement habituel ? Des complications inhérentes à la grossesse vont-elles voir le jour ?

L'ouvrage liste ainsi la grande majorité des maladies chroniques et proposent à chaque fois des rappels et une marche à suivre simple afin de gérer au mieux des situations souvent difficiles.

Cet ouvrage est destiné aux gynécologues obstétriciens, aux internes, aux généralistes, aux sages-femmes, et à tous les acteurs de la prise en charge des grossesses à risque.

Alexandra Benachi est professeur des universités, praticien hospitalier, chef du service de gynécologie-obstétrique et médecine de la reproduction de l'hôpital Antoine Béclère à Clamart.

Dominique Luton est professeur des universités et praticien hospitalier, service de gynécologie-obstétrique, chef de service à l'hôpital Beaujon à Clichy.

Laurent Mandelbrot est professeur des universités, praticien hospitalier et chef de service de gynécologie obstétrique, à l'hôpital Louis Mourier à Colombes.

Olivier Picone est praticien hospitalier, service de gynécologie-obstétrique à l'hôpital Foch à Suresnes.

Les importantes avancées médicales de ces dernières années ont permis à de nombreuses patientes atteintes de pathologies chroniques d'accéder à la grossesse. Ces mutations du monde médical ont notamment influencé le mode de travail des gynécologues-obstétriciens qui ont été amenés à prendre en charge ces patientes de manière plus régulière.
Au cours de leur grossesse, ces femmes seront suivies à la fois par le médecin spécialiste de la pathologie et par un médecin obstétricien. Il faut donc que le gynécologue habituellement en charge de la patiente puisse avoir un accès rapide et clair aux informations concernant la pathologie dont souffre cette dernière.

Cet ouvrage doit pouvoir répondre à toutes les questions que peuvent se poser les personnes en contact avec la patiente malade : la grossesse est-elle envisageable ? Quels éléments vont devoir faire l'objet d'une surveillance chez la patiente et le fœtus ? Cette grossesse va-t-elle impliquer une modification du traitement habituel ? Des complications inhérentes à la grossesse vont-elles voir le jour ?

L'ouvrage liste ainsi la grande majorité des maladies chroniques et proposent à chaque fois des rappels et une marche à suivre simple afin de gérer au mieux des situations souvent difficiles.

Cet ouvrage est destiné aux gynécologues obstétriciens, aux internes, aux généralistes, aux sages-femmes, et à tous les acteurs de la prise en charge des grossesses à risque.

Alexandra Benachi est professeur des universités, praticien hospitalier, chef du service de gynécologie-obstétrique et médecine de la reproduction de l'hôpital Antoine Béclère à Clamart.

Dominique Luton est professeur des universités et praticien hospitalier, service de gynécologie-obstétrique, chef de service à l'hôpital Beaujon à Clichy.

Laurent Mandelbrot est professeur des universités, praticien hospitalier et chef de service de gynécologie obstétrique, à l'hôpital Louis Mourier à Colombes.

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poupoune22

Fivette de diamant
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Mon centre de PMA : 29- CHRU Hôpital Morvan (Brest)
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Message non lu par poupoune22 »

Coucou les filles! C'est poupoune, j'ai eu un souci avec mon compte. Merci Emylou pour ces renseignements. Je suis d'accord, il y a peu d'investigations sur les soucis d'infertilité des hommes.
Iac 1 : 28/03/2018 notpregnant
Iac 2 : 27/04/2018 testpositif
12/05/2018 : 232 ui
16/05/2018 : 1 698 ui
29/05/2018 un bébé de 5 mm dans l'utérus avec une activité cardiaque
11/06/2018 un bébé de 15.3 mm avec un bigheart
T1 06/07/2018 un bébé de 52 mm tout va bien avec un battement à 169 bpm
25/08/2018 :girl:
T2 17/09/2018 : 464 g pour 23 cm
T3 : 16/11/2018 : 1.4kg
03/12/18 : visite 8eme mois et contrôle écho car ventre petit. Retard de croissance car un peu en dessous de 10%. 1.8kg
17/12 contrôle écho. 2.1 et 2.2kg.
Livia est née le 2/02/19 2.880kg.
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EmyLou

Fivette bannie

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Poupoune trop fort le choix de ton pseudo
Comment te sens tu ?
Tu es déjà à autant de mois ?! :)
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poupoune22

Fivette de diamant
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Message non lu par poupoune22 »

Oui Emylou je suis déjà autant. J'ai du mal à réaliser que ca fait autant. Début du 4ème mois hier pour la sécu et le gynéco je pense. Ca se compte du 27 au 27 a priori. Si on compte en sa ce serait vendredi prochain. Du coup je vais compter comme la sécu, c'est plus simple.
Iac 1 : 28/03/2018 notpregnant
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11/06/2018 un bébé de 15.3 mm avec un bigheart
T1 06/07/2018 un bébé de 52 mm tout va bien avec un battement à 169 bpm
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T3 : 16/11/2018 : 1.4kg
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17/12 contrôle écho. 2.1 et 2.2kg.
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EmyLou

Fivette bannie

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Ca fait plaisir de savoir que tout se passe bien pour toi et bébé Poupoune
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EmyLou

Fivette bannie

Message non lu par EmyLou »

Merci pour le soutien de nombreuses femmes sur le forum, les mamans, les futurs mamans, les mam'anges et toutes celles en attente de tomber enceintes
Certains sujets ne pouvaient être partagés sur certains topics, la vérité, les retours d'expérience semblent manifester un rejet peu amical...
Je poursuis le partage et j'espère selon les sujets qui vous intéressent que vous compléterez positivement en fonction de vos connaissances, expériences, hypothèses, questions, réflexions...

Je vous invite à lire le cas du SAPL identifié maladie rare mais de moins en moins rare et notamment le "SAPL de type Obstétrique" qui est un syndrome impactant notamment les flux, les échanges entre la mère et l'enfant à travers le placenta.
Le corps médical confirme que les échos de contrôle permettent de s'assurer que tout va bien durant la grossesse pour gérer en curatif, hélas tout n'est pas réparable d'autant plus que l'on sait que le préventif n'est pas systématique.

Selon les auteurs, "pas de lien démontré entre SAPL et fertilité"
Chapitre_SAPL_Pathologies maternelles et grossesse.pdf
(193.87 Kio) Téléchargé 35 fois
Force est de constater une absence de prévention et surtout d'informations pour les femmes en PMA qui ont des difficultés à tomber enceinte. L'Investigation serait encouragée par le système Français à débuter qu'à partir de 3 FC et/ou une mort in utero relative au SAPL et pas d'investigation si mort in utero dont la cause est différente.
Hors les auteurs confirment : "En cas de trois fausses couches spontanées précoces (FCS) consécutives, 10 à 20% des femmes ont une biologie APL."
Investiguer aussi tard ou ne pas informer, c'est difficile à accepter pour les femmes qui ont connu la souffrance de perdre son bébé difficilement compréhensible pour celles ne l'ayant pas vécu.
Ce manque de prévention et d'informations contribuent grandement à ce sentiment d'injustice.

Beaucoup d'incohérence et de temps perdu pour ces femmes en PMA ignorantes d'être en SAPL qu'il soit obstétrique ou non et qui subit l'injection des traitements hormonaux pour rien tant que le dépistage n'est pas fait

Si FC non consécutive sur un délai non mentionné dans l'étude pour des femmes en PMA, cela signifie pas de détection par prise de sang ?
Et si anticorps positifs en dehors de la grossesse, pas de prise en charge pendant la grossesse s'ils ne sont pas jugés représentatifs, et donc pas assez alarmistes par rapport aux valeurs de référence...
Il est tentant de comparer la logique de prise en charge avec celle peu réactive du diabète gestationnel avant les 35 ans et même après 35 ans de part mon expérience pour mes 2 grossesses. Une femme à 0.95 de glycémie à jeun hors grossesse n'est pas forcément traitée régime et/ou insuline qu'elle ait fait de la PMA ou non pour un risque de Diabète Gestationnel. Le Diabète Gestationnel débute officiellement au seuil de 0.92 et donc au delà de 0.92.
Qu'en est-il des femmes qui ont avant grossesse une glycémie à 1.05, 1.10... ? Est-ce qu'une accroche est possible avec une glycémie élevée ou malheureusement juste à la limite des valeurs de référence d'un adulte et non celles beaucoup plus basses d'une femme enceinte ? Quels impacts de la glycémie élevée pour le bébé ? Quels impacts si combinaison de facteurs, exemple TSH élevée et Glycémie élevée ?

A noter : Il y a :
=> SAPL déjà présent avant la grossesse
=> et le SAPL obstétrique qui se déclare qu'au moment de la grossesse.

Tant que les personnes ne sont pas confrontées au SAPL, ce sujet est tabou, rare, gênant, difficile à comprendre, ne touchant qu'une minorité... A se demander si les gens ne se demandent pas pourquoi il faudrait se battre pour une minorité tant que cela ne les touchent pas ?
Mais si certaines femmes sont la minorité, pourquoi ne pas faire de prévention surtout en étant en PMA...

Comme pour le dosage de l'AMH qui n'est pas remboursée par la sécurité sociale, pourquoi ne pas informer et laisser le choix pour les femmes qui le veulent vérifier leur dosage relatif au SAPL (les puristes donneront les bons termes) durant la grossesse à leurs frais afin d'écarter les risques associés : pré-éclampsie... les structures ne seraient pas assez importantes ou solides financièrement pour pouvoir gérer des femmes en SAPL jugé léger... malgré signes évocateurs d'un SAPL ?
Le SAPL est un exemple, Comment faire évoluer les choses (mentalités, systèmes...) ? Encourager à un don vers les hôpitaux publics pour une prise en charge plus élargie dans le cas si particulier des femmes en PMA ?

Je n'ai pas les réponses, je reste toujours interpellée par cette exemple de pathologie obstétrique.
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EmyLou

Fivette bannie

Message non lu par EmyLou »

Un post plus enjoué si cela peut vous donner des idées ou des suggestions pour faciliter l'organisation autour du DG "Diabète Gestationnel"

Image

Après une crise d'hyperglycémie, opération se préparer pour l'hôpital qui finalement s'est réglé grâce à ma première dose d'insuline rapide.
Proposition d'organisation autour du DG tout tient au millimètre près dans une trousse violette.
Juste les 2 insulines au frigo car la température ambiante doit pas dépasser 30 degrés.
Pour les moyens mnémotechniques, suggestion de mon endocrino en fonction de ses prescriptions :
- boîte verte pour insuline lente (à injecter le soir qui va durer toute la nuit pour une meilleure glycémie à jeun)
- boîte orange pour insuline rapide (soleil selon si glycémie au dessus du seuil avant repas actif sur durée courte en journée)

Symptômes peu communs mais le DG témoigne de ma grossesse :)
Pour sortir c'est un peu galère de gérer le dosage de la glycémie surtout avec cette chaleur qui ne permet pas de se promener avec de l'insuline mais il suffit d'un peu de temps pour s'habituer.
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EmyLou

Fivette bannie

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Une proposition menu diabète Gestationnel plus variée que celle reçue en 2017
IMG-20180728-WA0001.jpg
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poupoune22

Fivette de diamant
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Emylou je suis tout à fait d'accord. Je parlais avec une femme et son mari avait une tératospermie assez élevée. Ils ont eu des grossesses mais toujours des fausses couches et sont parties en insémination et là encore fausse couche. Elle fait partie de ses femmes mais a abandonné le combat pour un enfant naturel je pense. C'est triste. Il y a bien une raison à ses fausses couches. Si cela se trouve elle est dans ce cas. A moins que les médecins pensent que c'est dû à la tératospermie mais en iac, ils trient les spermatozoïdes il me semble.
Pour le diabète, je mange de la confiture, le matin et des compotes. Il va peut-être falloir que je change mes habitudes si jamais je suis à risque.
Iac 1 : 28/03/2018 notpregnant
Iac 2 : 27/04/2018 testpositif
12/05/2018 : 232 ui
16/05/2018 : 1 698 ui
29/05/2018 un bébé de 5 mm dans l'utérus avec une activité cardiaque
11/06/2018 un bébé de 15.3 mm avec un bigheart
T1 06/07/2018 un bébé de 52 mm tout va bien avec un battement à 169 bpm
25/08/2018 :girl:
T2 17/09/2018 : 464 g pour 23 cm
T3 : 16/11/2018 : 1.4kg
03/12/18 : visite 8eme mois et contrôle écho car ventre petit. Retard de croissance car un peu en dessous de 10%. 1.8kg
17/12 contrôle écho. 2.1 et 2.2kg.
Livia est née le 2/02/19 2.880kg.
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EmyLou

Fivette bannie

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Ta glycémie à jeun est à combien poupoune ?
Antécédents de diabète dans ta famille ?
Mon père a un diabète de type 2 et hors grossesse je ne suis pas diabétique. Et j étais déjà en régime DG en preconception par prévention.
Pour ton amie, cette non information semble courante. Le boost de mon mari qui a fonctionné nous avons investigués seuls..

Des études médicales indiquent que carence/déficit en vitamine D et DG sont corrélés au sens que le manque de vitamine D influerait négativement sur le DG.

Le labo pour ma vitamine D avait bloqué la publication de mes résultats je les ai reçu post iac alors qu il les avait 2 semaines avant et connaisse mon parcours : juste honteux, je suis en déficit malgré supplementation quotidienne.
La dernière prise en une seule fois de l ampoule j ai eu des réactions sur la peau jamais eu jusque là... Que le dermatologue m a enlevé.
Pour mon cas pas rassurée de prendre une dose d un coup en étant enceinte alors que plein de femmes enceintes le font sans aucun soucis.

Pour mon fils la glycémie à jeun variait au 1er trimestre entre 0.93 et 0.95 mais les gygy / médecins me riaient au nez donc pas de prise en charge tout comme la tsh et autre . Test glucose début du 4eme bien trop tard... j étais diagnostiquée en diabète la 1ere heure et en diabète Gestationnel la 2eme heure. Chaque femme réagit différemment et le DG heureusement n est pas systématique.
Et les 2 labos ont laissé faire, et n ont pas inscrit les valeurs de référence pour les femmes enceintes cela n aide pas pour défendre son dossier. Pour la tsh, il y avait bien une alerte sur un des 2 labos mais idem ces médecins s en moquaient.

No stress, un peu de vigilance et tout ira bien...
Sourions pour notre plus grand bonheur nous sommes enceintes natte natte natte

N b dans post sur la trousse j ai corrigé les erreurs sur les boîtes d insuline après faut se fier à l avis de son médecin et à la notice