Comment votre conjoint vous soutient-il ?

[jinkv]

Hello a toutes,
J'ai 42 ans et je viens de me lancer dans une FIV, échec 1er transfert, je viens de faire un TEC. Je n'ai parlé de ma FIV qu'à une amie, même pas à ma famille, donc il n'y a que 2 personnes avec mon partenaire qui sont au courant. Je me sens parfois très seule dans ce parcours d'obstacles, et je ne sens pas bcp le soutien de mon compagnon. Il est plutôt pudique sur ses sentiments, donc je dois lui tirer les vers du nez pour comprendre comment il se sent, pour le moment il a du mal à "connecter" à tout ça, il ne le "vit" pas comme moi, forcement. Lors du 1er échec il paraissait tellement détaché, mais je l'ai cuisiné pour savoir qu'il était "un peu déçu".
Il râle toujours un peu pour les rdv, il a du faire spermoculture et recueil de sperme, et il m'a accompagnée à la ponction et aux 2 transferts, mais j'ai l'impression que c'est seulement parce que c'était obligatoire... qd il râle sur les rdv ça me fait mal parce que j'ai l'impression que ce n'est pas sa priorité.
Au quotidien je ne me sens pas du tout soutenue, mais en même temps je me demande parfois ce que je pourrais attendre de plus de lui... alors je voulais avoir vos vécus, comment vos compagnons vous soutiennent-ils dans vos parcours FIV ?
Merci d'avance !

[Matti]

Hello @Jinkv :)
De mon côté au début j'en ai parlé à très peu de monde aussi, pas vraiment aux ami.e.s ni à la famille, juste deux ou trois personnes à mon travail parce que c'était plus simple pour s'organiser. Et comme toi mon compagnon est plutôt distant sur le sujet. Après lui il a déjà un enfant et puis il y a la différence d'âge. Des fois je me suis dis qu'il ne voulait pas vraiment d'un autre enfant et qu'il faisait ça plus pour me faire plaisir.
A la différence de toi mon compagnon parle facilement de ses sentiments.
Nous nous sommes lancés dans la PMA à un moment où nous avions déjà beaucoup de dossiers en cours et des choses déjà bien lourdes à gérer alors pour lui la PMA ça passe un peu après le reste contrairement à moi où c'est devenu carrément central...
Je pense aussi que mon chéri à "moins à perdre" si ça ne fonctionnait pas du fait d'avoir déjà un enfant.
Bref, quand on en discute c'est un peu ce qu'il en ressort et puis le fait qu'avec tout ce qu'on doit déjà gérer ça prend déjà beaucoup de place dans la tête alors la PMA... il n'y pense pas trop. Il vient au rdv, il fait ce qu'il faut sans râler. Par contre il ne s'investi pas dans la prise des rendez-vous donc je suis un peu livrée à moi-même à devoir gérer l'emploi du temps de tout le monde et c'est frustrant parfois, ça nous a déjà valut de reculer un ou deux rdv parce qu'il devait s'en occuper et qu'il ne l'a pas fait donc il n'y avait plus de place...
J'essaie de ne pas lui en vouloir parce que je sais que les choses autour sont déjà bien compliquées.
Enfin bref, tout ça pour dire que je me suis sentie aussi très seule pendant longtemps et puis j'ai cherché des groupes de paroles et de fil en aiguille je suis tombée sur ce forum et là.... ça fait un bien fou ! Du coup je suis moins en boucle à lui parler tout le temps de ça et il est plus apte à m'écouter les peu de fois où j'en parle avec lui ;)
Je pense que tu as bien fait de t'inscrire :)
Je suis désolée pour l'échec de ton 1er transfert et je te souhaite toute la réussite possible pour ce second essai !!
Au plaisir de te lire

[naniie]

Aucun soutien de sa part de mon coté.
Il est trop pudique et il a peur de tout ce qui est medecin etc donc moins il questionne mieux il se porte....
Il m'accompagne pas aux rdvs car il bosse + de 40h par semaine.
Il est par contre là lors des ponctions.

[Joanna744]

Salut, je viens de créer une discussion à ce sujet mais j'ai quand même envie de te répondre.
Mon conjoint est un cartésien du genre 1+2=3 et si il y a un problème c'est qu'il y a une solution.
Sentiment parlant c'est bien caché, je n'ai PAS DU TOUT l'impression d'être soutenue moralement.
Déja, il ne comprenait pas que je suis KO moralement et que j'aie mis du temps à accepter la situation. Faire le deuil de l'enfant naturel.
Ensuite, j'ai perdu mon job au début de la FIV et il m'a dit que c'était de ma faute et que je n'avais qu'à assumer les conséquences lorsque j'ai voulu me confier à lui et mon mal être par rapport à cela.
Le long du parcours il me faisait les piqûre car il est infirmier.
Au dela de ça il m'a fait un massage une fois à ma demande. J'étais hyper constipée et j'avais l'impression que mes ovaires allaient exploser.
Il ne m'a pas ramenée le jour de la ponction il est retourné au travail dès qu'il a fait son don de sperme. Il a demandé à son employé de venir me récupérer. Lui avait trop peur de se faire licencier de son travail en Suisse car il avait un RDV important ce jour. Et comme je l'ai rejoint dans cette région de m***** où je n'ai ni famille et amis c'était la seule option.
A part des "qu'est-ce que je peux faire pour toi" de temps en temps en formule toute faite pas de geste spontané de sa part.
Aujourd'hui il ne comprend pas pourquoi je lui ai fait des reproches avant de partir pour une semaine chez ma mère. Il ne comprend pas l'idée que je sois très mal avec ce qu'il m'arrive en ce moment. Il faut assumer et ne pas se laisser aller tel est son crédo.
Facile pour lui avec son job en suisse et le salaire qui va avec.
J'ai l'impression de me faire rouler avec cette PMA. On assume tout avec les douleurs et tous les désagréments psychiques, physiques et financiers pendant que ces messieurs eux font quoi ?
Hier j'ai été à deux doigts de la séparation alors qu'on est en attente des résultats. Je n'en peux plus

[jinkv]

Salut, je viens de créer une discussion à ce sujet mais j'ai quand même envie de te répondre.
Mon conjoint est un cartésien du genre 1+2=3 et si il y a un problème c'est qu'il y a une solution.
Sentiment parlant c'est bien caché, je n'ai PAS DU TOUT l'impression d'être soutenue moralement.
Déja, il ne comprenait pas que je suis KO moralement et que j'aie mis du temps à accepter la situation. Faire le deuil de l'enfant naturel.
Ensuite, j'ai perdu mon job au début de la FIV et il m'a dit que c'était de ma faute et que je n'avais qu'à assumer les conséquences lorsque j'ai voulu me confier à lui et mon mal être par rapport à cela.
Le long du parcours il me faisait les piqûre car il est infirmier.
Au dela de ça il m'a fait un massage une fois à ma demande. J'étais hyper constipée et j'avais l'impression que mes ovaires allaient exploser.
Il ne m'a pas ramenée le jour de la ponction il est retourné au travail dès qu'il a fait son don de sperme. Il a demandé à son employé de venir me récupérer. Lui avait trop peur de se faire licencier de son travail en Suisse car il avait un RDV important ce jour. Et comme je l'ai rejoint dans cette région de m***** où je n'ai ni famille et amis c'était la seule option.
A part des "qu'est-ce que je peux faire pour toi" de temps en temps en formule toute faite pas de geste spontané de sa part.
Aujourd'hui il ne comprend pas pourquoi je lui ai fait des reproches avant de partir pour une semaine chez ma mère. Il ne comprend pas l'idée que je sois très mal avec ce qu'il m'arrive en ce moment. Il faut assumer et ne pas se laisser aller tel est son crédo.
Facile pour lui avec son job en suisse et le salaire qui va avec.
J'ai l'impression de me faire rouler avec cette PMA. On assume tout avec les douleurs et tous les désagréments psychiques, physiques et financiers pendant que ces messieurs eux font quoi ?
Hier j'ai été à deux doigts de la séparation alors qu'on est en attente des résultats. Je n'en peux plus

Hello Joanna,
j'espère que ça va mieux pour toi ! les PMA sont très difficiles pour nos nerfs, je ne compte plus le nombre de fois où j'ai eu envie de tout balancer... j'en suis même arrivée, lors de l'attente des résultats après transfert, à me dire que si el résultat était négatif alors je quitterai tout lui compris, et que je continuerai un parcours PMA solo...
aujourd'hui je suis enceinte, et je te mentirai si je te disais que je n'ai pas encore régulièrement des idées de faire ma vie de maman toute seule ! mais quelques jours après je me projette aussi dans une vie de famille( avec bcp de points d'interrogations qd même).
J'étais allée voir une psy pendant ma PMA, je voyais tout en noir. Après l'échec de tous les transferts de la 1ère FIV, ma gygy m'a fait faire une pause dans le traitement de 1 ou 2 mois (fermeture estivale oblige), et là miracle, je ne voyais plus la vie en noir ! comme quoi les traitements jouent énormément sur le moral aussi !

[Joanna744]

Salut, je viens de créer une discussion à ce sujet mais j'ai quand même envie de te répondre.
Mon conjoint est un cartésien du genre 1+2=3 et si il y a un problème c'est qu'il y a une solution.
Sentiment parlant c'est bien caché, je n'ai PAS DU TOUT l'impression d'être soutenue moralement.
Déja, il ne comprenait pas que je suis KO moralement et que j'aie mis du temps à accepter la situation. Faire le deuil de l'enfant naturel.
Ensuite, j'ai perdu mon job au début de la FIV et il m'a dit que c'était de ma faute et que je n'avais qu'à assumer les conséquences lorsque j'ai voulu me confier à lui et mon mal être par rapport à cela.
Le long du parcours il me faisait les piqûre car il est infirmier.
Au dela de ça il m'a fait un massage une fois à ma demande. J'étais hyper constipée et j'avais l'impression que mes ovaires allaient exploser.
Il ne m'a pas ramenée le jour de la ponction il est retourné au travail dès qu'il a fait son don de sperme. Il a demandé à son employé de venir me récupérer. Lui avait trop peur de se faire licencier de son travail en Suisse car il avait un RDV important ce jour. Et comme je l'ai rejoint dans cette région de m***** où je n'ai ni famille et amis c'était la seule option.
A part des "qu'est-ce que je peux faire pour toi" de temps en temps en formule toute faite pas de geste spontané de sa part.
Aujourd'hui il ne comprend pas pourquoi je lui ai fait des reproches avant de partir pour une semaine chez ma mère. Il ne comprend pas l'idée que je sois très mal avec ce qu'il m'arrive en ce moment. Il faut assumer et ne pas se laisser aller tel est son crédo.
Facile pour lui avec son job en suisse et le salaire qui va avec.
J'ai l'impression de me faire rouler avec cette PMA. On assume tout avec les douleurs et tous les désagréments psychiques, physiques et financiers pendant que ces messieurs eux font quoi ?
Hier j'ai été à deux doigts de la séparation alors qu'on est en attente des résultats. Je n'en peux plus

Hello Joanna,
j'espère que ça va mieux pour toi ! les PMA sont très difficiles pour nos nerfs, je ne compte plus le nombre de fois où j'ai eu envie de tout balancer... j'en suis même arrivée, lors de l'attente des résultats après transfert, à me dire que si el résultat était négatif alors je quitterai tout lui compris, et que je continuerai un parcours PMA solo...
aujourd'hui je suis enceinte, et je te mentirai si je te disais que je n'ai pas encore régulièrement des idées de faire ma vie de maman toute seule ! mais quelques jours après je me projette aussi dans une vie de famille( avec bcp de points d'interrogations qd même).
J'étais allée voir une psy pendant ma PMA, je voyais tout en noir. Après l'échec de tous les transferts de la 1ère FIV, ma gygy m'a fait faire une pause dans le traitement de 1 ou 2 mois (fermeture estivale oblige), et là miracle, je ne voyais plus la vie en noir ! comme quoi les traitements jouent énormément sur le moral aussi !

Coucou Jinkv, merci pour ton retour.
Moi je vais un peu mieux. La FIV a marché du premier coup pour nous .
Le problème c'est que vu notre relation en ce moment je n'ai pas su le prendre comme j'aurais dû.
J'aurais dû être la plus heureuse mais je suis plus angoissée qu'autre chose et je culpabilise tant à cause de cela.
On m'a implanté deux embryons et je risque fort d'accoucher de jumeaux
Ca aurait été merveilleux si je n'avais pas en tête cette petite chanson, sans cesse : pars de cet endroit, tu n'es pas heureuse ici.
Et lorsque je lui en parle il me répond que c'était MON choix que de venir ici et que personne ne m'avait forcée (donc que je n'ai pas à me plaindre maintenant) et que je ne sais pas ce que je veux.
Qu'il a tout fait pour moi et que malgré tout j'en veux toujours plus : changé d'un 2 pièces pour un 3 pièces en RDC (wow), nous avons pris un chat (parce que je me sentais horriblement seule ici sans famille et amis) et que moi je ne suis jamais contente. Que même si on rentre dans notre région près des nôtres où l'on pourra avoir une jolie petite maison rien qu'à nous je ne serais toujours pas satisfaite. Que je n'arrive pas à garder un taf alors que lui a son taf en Suisse et sa boîte alors il ne va pas laisser tout ça pour mon instabilité professionnelle.
Que notre 55m2 ne le dérange pas et qu'il n'allait pas se rendre fou pour chercher un autre endroit. La chambre n°2 est minuscule et la salle de bains aussi. Bien sûr ce n'est pas lui qui va se casser le dos et il n'anticipe rien. Où va-t-on mettre le matériel, les vêtements, le lit d'ami etc ? Je dois penser à tout. Il le justifie en disant que nos parents (immigrés de la classe ouvrière) y sont bien arrivés comme cela donc nous aussi. Wow ! Si j'avais su qu'ici j'aurais une vie d'immigrée alors je ne serai pas venue, c'est certain.
Alors même qu'il est "blindé" il ne se met pas d'argent de côté et je me demande bien où ça passe ! Quand je râle et je déprime il me promet qu'on va louer une maison avec un jardin. Mais dès que je me calme, tout est oublié on fait comme si de rien n'était. Le pire c'est que cet endroit est censé le rendre riche.Toutes les activités me coûtent les yeux de la tête alors que j'ai un salaire français MOI. 80 € pour une séance chez la psy et on se demande pourquoi j'ai arrêté. 100 € mensuels le cours de yoga ou un cours collectif de gym, etc.
Moi, ici, je me sens aussi pauvre lorsque j'avais 20 ans et que je bossais à temps partiel.
Et encore, à l'époque avec mon premier petit copain on avait pu louer une petite maison avec un beau jardin. Ici j'étouffe !!!!!!

[Maian]

Moi je sors juste d'un nouvel échec d'implantation après un TEC issu d'une 4e fiv.
C'était mon avant-dernière chance, il reste un seul embryon congelé. Et je n'y crois plus, je n'ai meme pas envie de tester le transfert.
Et zéro soutien psychologique de la part de mon partenaire. Il a tout fait sagement comme on lui a dit (bien qu'il ait fallu parfois lui tenir la jambe), mais juste pour ne pas me contrarier. Tout le reste, l'organisation, l'investissement en temps, en énergie, l'implication psychologique, (physique évidemment) j'ai été toute seule. Il me voyait gérer tout de A à Z, me décomposer psychologiquement devant lui, zero reaction, à part un semblant de pitié parfois, " oh ma pauvre, ça a vraiment pas l'air facile".
"Test de grossesse négatif ? Ah ok", dit-il, nonchalant avant de se replonger dans sa lecture.
Je parle d'adoption, je dis que j'aimerais considérer cette option, mais que ca ne sera probablement pas possible, parce qu'il ne lèvera pas le petit doigt et que je ne suis pas prête à encore tout prendre sur moi. Zéro réaction.
On pourrait se dire que le fait qu'il ne soit pas sûr de vouloir des enfants n'aide pas, mais même si c'était le cas, je sais que ça ne changerait rien à la situation.
À l'instant j'ai eu envie de lui arracher les yeux parce qu'il s'est littéralement mis dans tous ses états pour un joint du siphon du lavabo qui s'est cassé et qu'il va devoir réparer. Moi à côté j'ai passé ces 7 dernières années à me bouffer régulierement des douleurs atroces, des accès de fatigue et de déprime de dingue, des rdvs à gérer, des opérations, une tonne d'administratif pour la sécu (on vit en Allemagne), les traitements, les piqûres, etc... et il ne se sentait absolument pas concerné.
Mais pour un joint cassé, rien ne va plus, il va être obligé d'aller en magasin pour acheter le nécessaire pour réparer.
On vit sur deux planètes différentes, j'ai parfois l'impression.
Ça fait 13 ans qu'on est ensemble, et c'est la première fois que je me demande si on a vraiment un avenir commun.

[jinkv]

Hello Maian, je me retrouve pas mal dans ce que tu dis...
Le jour de l'écho de datation, j'étais aux anges d'avoir vu l'embryon pour la 1ere fois. Lui n'a pas dit un mot, juste des "oui oui" qd j'essayais de lancer un peu la discussion, genre t'as vu ça, et t'as vu ça... au bout de 10min je me suis lassée, je n'ai plus rien dit, il a pris son téléphone et m'a commenté l'actualité. Je lui ai répondu un peu sèchement que j'avais d'autres chats à fouetter là tout de suite...
Mais d'un autre côté il me demandais quasi tous les matins si ça allait, bon pas grosse discussion sur comment je me sentais, mais déjà cette question c'était pas mal. Et surtout qd on a du faire une IMG, il est resté tout du long avec moi, et a été aux petits soins avec moi, lui qui au début n'était même pas sûre de pouvoir se libérer pour le rdv avec les généticiens pour ke résultat du test T21. Mais je lui ai expliqué un soir, en pleurs, que je ne voulais pas être seule pour cette épreuve, et il a entendu.
Tous les hommes ne sont pas les mêmes, mais bcp ont en commun de ne pas savoir exprimer leurs émotions ni savoir quoi faire de l'émotion de l'autre. Non pas qu'ils ne compatissent pas, mais juste ils ne savent pas s'il faut donner une tape dans le dos, discuter (ce dont ils ont horreur donc ils évitent autant que possible), prendre quelques tâches en plus à la maison... j'avais dit à mon compagnon que parfois devant son indifférence j'avais l'impression qu'il avait changé d'avis, et que dans ce cas il fallait me le dire et je continuerais seule. Mais en fait non, c'est juste qu'il ne savait pas où était sa place, qu'il n'était pas à l'aise pour déranger son quotidien bien ordonné (le boulot avant tout, même les rdv), et qu'il avait encore du mal à se projeter.
Depuis cette épreuve il veut m'accompagner à tous les rdv même les rdv gynéco "basiques", lui qui rechignait pour les transferts alors que sa présence était obligatoire..
Bref tout ça pour dire qu'il faut essayer de communiquer, sans tomber dans le reproche, et sans chercher à ce qu'il t'ouvre son cœur car bcp d'hommes sont juste incapables de le formuler. Mais exprimer ton ressenti et tes besoins pourrait peut-être aider, dans une discussion bien cadrée (genre pas pendant que mossieur regarde le match de foot)...
J'espère que ça s'arrangera pour vous deux, on sait à quel point la PMA met à l'épreuve le couple !