Emission télé Infrarouge sur France 2 le 21 février à 23h05 : "Et si on faisait un bébé ?"

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Koala

Fivette de diamant
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Emission télé Infrarouge sur France 2 le 21 février à 23h05 : "Et si on faisait un bébé ?"

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SYNOPSIS

"Nils Tavernier et Emmanuel Mathieu questionnent le désir de parentalité, bouleversé depuis la légalisation de la pilule en 1967. Par le passé, avoir des enfants était une évidence. Mais aujourd'hui, grâce aux techniques médicales qui permettent de maîtriser la fécondité, l'envie de procréer prend de nouvelles formes. A travers la France, les réalisateurs ont rencontré des médecins, des pédopsychiatres et des couples hétérosexuels, homosexuels ou stériles. Enquête sur ce sentiment puissant et complexe se rapportant au passé familial, à l'enfance et à la relation avec la mère.

CRITIQUES DE LA RÉDACTION

Oreilles bienveillantes, Nils Tavernier et Emmanuel Mathieu ont su écouter et recueillir les récits parfois bouleversants de parents qui suivent un traitement par fécondation in vitro. De belles rencontres animent ce voyage rempli d'émotions. Un seul regret : l'absence de témoins qui ont décidé de ne pas avoir d'enfants.
"

Source : https://www.programme-tv.net/programme/ ... t-un-bebe/
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04/18 TEV2 : 1j5 hatching - ► 09/18 MatriceLAB endo profil mixte ► 11/18 TEV3 : 1j5 éclos - ► 03/19 TEV4 : 1j5 éclos - ► 07/20 Win-test endo partiellement réceptif dans fenêtre décalée et courte ► 03/22 : TEV5 ultime J5 - ► Fin de PMA sans enfant, je ne serai jamais maman brokenheart
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Complément d'info trouvé sur la page facebook fiv.fr :

A ne pas rater ce Mardi 21 février sur France 2 à 23h05 le documentaire #infrarouge de Nils Tavernier sur le désir d'enfant, la #fiv , la #pma . Durée de 1h24 #etsionfaisaitunbebe #documentaire #infrarouge Et si on faisait un bébé ?
D’où vient le désir de parentalité ? Comment la science a-t-elle changé la donne en matière de procréation ? Ces questions, Nils Tavernier les pose à celles et ceux qui ressentent le besoin viscéral de faire un enfant. S’appuyant sur les avancées de la médecine, Et si on faisait un bébé... s’attèle à définir ce désir de parentalité, dans toute sa diversité.
Dans Et si on faisait un bébé..., Nils Tavernier part du constat que, depuis les lois Neuwirth et Veil, les femmes ont désormais le choix de concevoir un enfant au moment qu’elles jugent le plus opportun. Les progrès en matière de contraception ont pour conséquence de faire chuter la natalité et de changer les rapports parents-enfants. Concevoir un bébé revêt alors au sein des couples un caractère délibéré, ce qui n’était pas toujours le cas auparavant. En témoignent les images d’archives dont Nils Tavernier saupoudre subtilement son film, où l'on voit des réactions de femmes des années 1960, assujetties à leur rôle de mère et d’épouse, accueillant avec joie l’arrivée de la pilule.
Mais qu’en est-il 50 ans plus tard ? Quelles sont maintenant les raisons qui poussent les couples à procréer ? Est-on poussé par une certaine pression sociale ? Ou obéit-on plutôt à un instinct de parentalité inscrit dans notre ADN ? Pour répondre à ces questions, Nils Tavernier interroge des couples au profil très différents les uns des autres qui se retrouvent cependant sur un point : un désir inextinguible de parentalité. Se succédant devant sa caméra, leurs histoires sont tantôt émouvantes, tantôt douloureuses, et toujours criantes d’authenticité.
À l’heure du mariage pour tous et des progrès de la médecine, le documentaire s’appuie donc sur un panel de témoignages mettant en lumière la diversité des couples qui aujourd’hui désirent un enfant. Parents homosexuels, stériles ou porteurs de maladies génétiques, tous rencontrent des difficultés à concevoir le petit être tant attendu. Heureusement, des solutions existent : PMA (procréation médicale assistée), FIV (fécondation in vitro), GPA (gestation pour autrui), adoption… Sans jamais tomber dans le piège de la polémique, Nils Tavernier passe en revue ces options en questionnant directement les premiers intéressés. Médecins, chercheurs et parents démystifient ainsi ces façons peu conventionnelles de procréer, pourtant seuls recours pour ces couples en mal d’enfant…


Pôle Documentaire/magazine/culture
INFRAROUGE
"Et si on faisait un bébé ..."
mardi 21 février 2017 à 23h00 - INEDIT

INEDIT 85'

Difficile de trouver une personne qui ne se soit jamais interrogée sur son désir d'enfant. Qu'elle soit un homme, une femme, célibataire, en couple homosexuel ou stérile. Le film explore ce désir dans tous ces possibles, à l'heure où les techniques médicales permettent la procréation naturelle comme artificielle. Une véritable aventure documentaire.

Note d’intention de Nils Tavernier :

Depuis plus de 25 ans, je réalise des films sur le rapport femme/enfant, surtout sur les enfants. Ma mère me disait que lorsque j’avais 5 ans, j’aimais déjà les bébés et que j’étais fasciné par eux. C’est plutôt le monde des grandes personnes qui m’effrayait peut-être, en tout cas, à 50 ans, les enfants et leur place dans le monde reste ma principale interrogation.

Que ce soit dans un camp de réfugiés en Azerbaïdjan où des milliers d’hommes et de femmes vivent dans des conditions précaires ou dans des wagons à bestiaux, que ce soit en prison de femmes où les bébés sont acceptés parfois dans les centres de rétention jusqu’à 18 mois ou dans les bidons villes de Phnom Penh, mon regard et ma caméra s’arrêtent toujours sur les enfants.

J’ai, par ailleurs, passé 2 ans de ma vie en soins palliatifs en pédiatrie neurologique et la place de la mort des enfants était bien évidemment centrale.

Mais ce n’est pas que dans la mort ou dans l’exclusion que j’ai passé une grande partie de ma vie à tenter de comprendre la place de l’enfant dans la société.

C’est en explorant le mécanisme clinique du mystère de la procréation, de la rencontre avec le spermatozoïde et l’ovocyte jusqu’à la naissance que ce film s’est construit…

Nils Tavernier

Note d'intention d'Emmanuel Mathieu :

Le désir d’enfant a changé de nature au fil du temps. Jadis la question ne se posait pas : on faisait des enfants pour ses vieux jours, pour continuer la lignée et pour l’État. La maîtrise de la fécondité a radicalement changé la donne à partir des années 1970. La grossesse est aujourd’hui le résultat d’un choix qui a libéré les femmes, mais les a placées face à leur désir – ou à leur non désir – d’enfant.

Le désir d’enfant se présente souvent comme une démarche consciente, raisonnable, voire programmée, s’intégrant dans un plan de vie lié aux idéaux sociaux, culturels et familiaux. Un désir individuel et multiforme, qui s’inscrit dans un parcours de vie personnelle et professionnelle et qui, avec l’aide des technologies de procréation médicalement assistée, peut se montrer impérieux.

La naissance d’un enfant est généralement la concrétisation d’un désir profond et puissant. Elle est aussi, le plus souvent, le fruit d’une histoire d’amour. Mais l’envie de maternité révèle parfois des manques, des aspirations très inconscientes, propres à l’histoire de chacun.

Le désir d'enfant : sujet passionnant et riche de sens.

Le désir d’enfant est un sentiment complexe lié au passé familial, à l’enfant que l’on a été, au lien à la mère. Il est porteur d’ambivalences.

L’amour d’un compagnon et le désir d’avoir un enfant avec lui peut couler de source, comme une évidence. Dans ce cas, le désir d’enfant prend ses racines dans une envie profonde de donner de l’amour et d‘offrir une descendance à son partenaire.

Mais le désir d’enfant peut aussi correspondre au besoin d’être aimé différemment ; Nous n’avons pas tous été aimés comme nous l’aurions voulu dans notre enfance. Une situation que nous sommes bien résolus à changer grâce à cet enfant qui, lui nous aimera quoi qu’il arrive.

Avoir des enfants avec qui et quand ? Telle est la question qui s'invite dans nos vies, parfois avec force, et s'impose à nous un jour ou l'autre. Il est rare de rencontrer quelqu'un qui ne se soit jamais interrogé sur ce sujet…

Emmanuel Mathieu

Note d'intention de Brice Marion, producteur :

J’ai 42 ans et 3 enfants. Le désir d’enfant est donc partie prenante de ma vie. J’ai été presque bercé par l’Odyssée de la vie qui proposait alors une vision romantique du désir d’enfant.

C’est, par ailleurs, resté un film culte pour tous les couples et surtout pour les futures mamans.

Mais mon histoire, ma propre histoire, n’est pas celle-ci. Effectivement, j’ai dû attendre 7 ans avant d’avoir mon premier enfant. Je fais partie des parents qui ont eu le temps de réfléchir au désir d’enfant, aux questions d’étiques, de transmissions, toutes ces réflexions suscitées par l’attente d’être père. C’est donc pour de multiples raisons que je produis ce film.

Tout commence par les histoires d’amour, celles que nous avons tous vécu, avec l’envie de les concrétiser par le fait d’avoir un enfant avec, en tête, ce couple idéal où tout « roule » comme un conte de fée à la Walt Disney qui finit toujours par : « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants…». C’est celles qui nous interrogent sur notre propre existence. Nos parents se sont aimés et nous sommes le fruit de cet amour.

Je suis de cette génération, la pilule arrivait tout juste.

Et puis il y a de toutes autres histoires qui seront traitées et elles sont bien nombreuses. L’infertilité et la procréation médicalement assistée avec toutes les questions que cela engendrent. Les temps d’attentes, les couples qui adoptent, la fécondation in vitro et la question centrale : « Jusqu’où va la médecine du désir ? » comme l’appelle René Frydman, un obstétricien français.

Quelle est la frontière entre droit universel à avoir un enfant et le droit de l’enfant ?

Que représente la notion de famille et celle de l’enfant qui jadis était le fruit d’un homme et d’une femme dont le patrimoine génétique provenait, pour la plupart du temps, de la maman et du papa ?

Mais nous n'en sommes plus là.

Un enfant peut, aujourd’hui, avoir été construit. Grâce à un don d’ovocyte, de sperme, l’enfant peut n’avoir plus aucun patrimoine génétique commun avec son père et/ou sa mère. Tant de bouleversements incroyables de la fécondation in vitro.

Des conventions donc sur la définition de la famille, de l’enfant s’imposent à la médecine moderne. Un sujet passionnant !

J’ai donc demandé à Nils Tavernier ce travail sur la relation mère/enfant car depuis 20 ans, il filme dans les maternités et ce sujet lui tient particulièrement à cœur.

Son expertise et sa déontologie dans ce domaine sont autant de facteurs qui nous ont amené à la création de ces deux films avec pour objectif de tenter de répondre à la question fondamentale :« Pourquoi et comment on fait des bébés ? »

Pourquoi, en France, nous sommes les meilleurs producteurs d’enfants ?

Grâce à une multitude de portraits, dans toute la France, dans tous les milieux ou presque, nous interrogeons des couples qui vivent ce désir d’enfant, à des stades différents mais complémentaires.

C’est parfois sur de long parcours que nous pouvons investir leur intimité et leur problématique. Il nous est paru utile de faire également intervenir et donner la parole aux médecins, aux psy, aux intervenants médicaux quel qu’ils soient, pour éclairer le spectateur sur ces problématiques d’éthique nouvelle.

Un film, des films ambitieux sur un tournage étalé sur une année pour pénétrer au plus profond de l’âme, de la médecine, des êtres en devenir, tout en restant humain comme le sont toujours les films de Nils Tavernier.

Brice Marion

Biographie de Nils Tavernier :

Nils Tavernier se consacre essentiellement au film documentaire mais a également signé deux longs métrages de fiction pour le cinéma : Aurore (2006) et De toutes nos forces (2013).

Nils Tavernier fait sa première apparition au cinéma dans un film de Bertrand Tavernier, Des enfants gâtés en 1977 alors qu'il est encore adolescent. Il apparaît également en 1982 dans Coup de foudre de Diane Kurys. Suivent ensuite des apparitions dans les longs métrages La Passion Béatrice en 1987, L.627 en 1991 et La Fille de d'Artagnan en 1993 de Bertrand Tavernier. Il joue aussi des seconds rôles dans Une affaire de femmes de Claude Chabrol et Valmont de Miloš Forman en 1988, puis Post coïtum animal triste de Brigitte Rouan en 1996 et Un frère de Sylvie Verheyde en 1997.

Nils Tavernier s'est fait connaître en réalisant d'abord des courts métrages puis des documentaires. Au cinéma, en 2001, il fait partager sa passion de la danse avec Tout près des étoiles et coréalise, avec Bertrand Tavernier, le film documentaire Histoires de vies brisées : les "double peine" de Lyon. En 2009, il réalise le documentaire Le Mystère des jumeaux. En 2012, il réalise avec Gil Rabier un film documentaire sur l'erreur médicale Que reste-t-il de nos erreurs ?. Ce film est soutenu par le Ministère français de la santé et l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris. En 2013, il revient sur les thèmes de l'enfance, du handicap et de la volonté avec le film De toutes nos forces.

Il travaille également pour la télévision et signe deux documentaires : Désirs et sexualités en 2004, dans lequel il s'interroge sur la sexualité des Français et L'Odyssée de la vie en 2006, qui suit une femme tout au long de sa grossesse et dans son affirmation en tant que maman au sein du couple.
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Message non lu par Koala »

Personnellement j'ai été très partagée quand à ce reportage, il y avait de bonnes choses mais d'autres m'ont particulièrement énervée comme :
- le fait que la psychologue et une patiente résument bcp le recours à la PMA au "fameux" blocage psychologique ("c'est dans la tête"),
- qu'on ne voit aucune des femmes en période de stim avec tous les inconvénients que ça comporte (on a juste l'impression que la FIV se résume à la ponction, la FIV elle-même et le transfert),
- que la voix off parle du DPI comme s'il était utilisé par défaut,
- qu'on ne suive que des couples dont la femme est enceinte ou ait accouché,
etc

Je suis tombée sur cette publication d'une des Audrey de l'excellent livre "Le guide des couples infertiles" qui a très bien résumé les choses et dont je partage l'avis : https://www.facebook.com/gsuci/posts/1115722258572978
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Message non lu par mocaille »

Merci Koala pour le partage de l'avis d'Audrey et du tiens. Je vous rejoins également. Ce documentaire m'a rendue triste parce qu'il a encore une fois semé le doute en moi (suis-je responsable de mon infertilité? Quelle est donc cette cause psychologique que je ne parviens à décrypter? ) Bref... il y a de bons passages mais l'ensemble était un peu fourre-tout et énervant pour les couples en plein parcours ...

Bonne soirée!
Infertilité inexpliquée depuis 2010
bébé 1:
2014: stimulations simples
septembre 2015 à mars 2016 : 4 IAC notpregnant
FIV 1 de mai à novembre 2016, 3 transferts notpregnant --
FIV 2 : testpositif
bébé 2:
TEC en février 2020 notpregnant
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11 ans pour avoir deux magnifiques bébés, merci la PMA.
Accrochez-vous !
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Message non lu par Koala »

Moi aussi, ça m'a autant énervée que rendue triste, et pour en avoir discuté avec plusieurs copines de galères, on est pas les seules ;-)
Bref un reportage à vite oublier, en espérant que les prochains qui seront réalisés sur le sujet soient faits avec plus de connaissances et de précisions !
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