Pauvre choux, j'espère que ça va mieux. Je n'ai pas encore expérimenté la gastro…
Il y a des moments comme ça où je me demande comment il est possible de gérer 2 !!
Pauvre choux, j'espère que ça va mieux. Je n'ai pas encore expérimenté la gastro…
Spes, cela me fait du bien de te lire même si je regrette que tu sois dans cette situation aussi. Comme quoi nous sommes nombreuses a finir dans cette situation. Comme toi je jongle entre espoir (il reste un EC de mes 38 ans, le médecin est confiant, etc) et lucidité (je ne suis plus une jeunette et si ça fonctionne cet enfant aura 8-9 ans à mes 50 ans).Spes a écrit : ↑01 mars 2021 à 15:58 Bonjour à toutes,
Papayeverte, je suis presque exactement dans la même situation que toi : à 40 ans, avec déjà une miraculeuse petite fille, je viens de vivre l'échec d'un transfert et il ne reste plus qu'un embryon. Pour moi aussi ce dernier transfert signera la fin de la PMA, parce que je vieillis et que je ne supporterais pas de ne pas pouvoir tenter le transfert de tous les embryons que j'obtiendrais avec une nouvelle FIV.
Moi aussi je me dis que nous serons peut-être les parents d'un enfant unique, j'essaie de trouver l'équilibre entre l'espoir qu'on peut encore garder et la lucidité qui m'évitera de trop souffrir en cas d'échec. Je ne voudrais surtout pas être déprimée pendant les premières années de ma fille parce que je ne peux pas en avoir un deuxième… Je me dis que, quoi qu'il se passe, on peut être heureux comme ça.
Je voulais aussi réagir à ce que tu disais de ta relation avec ta sœur, qui te faisait regretter que ta fille ne puisse connaître la même chose. Ce qui me réconforte, c'est de me dire que de toute façon, on n'a aucun moyen de savoir si les frères et sœurs vont bien s'entendre. Autour de moi, je vois toutes les situations : certains qui s'entendaient bien dans l'enfance puis s'ignorent complètement, d'autres au contraire qui ont commencé à s'apprécier à l'âge adulte, des sœurs fusionnelles, des sœurs qui se haïssent… La naissance d'un petit frère ou d'une petite sœur ne signifie pas forcément une fratrie harmonieuse. C'est le genre de considérations qui m'aide à accepter l'idée qu'il n'y ait qu'un seul enfant.
Tu attaques direct sur ce cycle ? Wahou la chance. Après mon échec, ce qui m'a achevé c'est l'annonce d'un cycle de repos. J'attendais de faire ces TEC depuis des mois, j'étais dans une bonne lancée bien motivée et quand bien même je sais que ça peut être un mal pour un bien ça m'a dépité, limite découragée. Peu a peu je me suis faite a l'idée.Spes a écrit : ↑05 mars 2021 à 07:21 C'est sûr que les bébés demandent beaucoup d'énergie… et encore, la mienne ne marche pas encore! J'ai aussi beaucoup de chance, parce que mon conjoint est aussi gaga d'elle que moi et s'en occupe énormément. Je suis vernie de ce côté.
Malgré cela, comme pour toi, ce sera très difficile de se reposer après le transfert. Moi aussi, lors du premier transfert, j'avais beaucoup réduit le rythme et j'aurais bien aimé faire pareil. Je me sens très fatiguée en ce moment, j'ai peur que ça ait une influence sur le transfert : en même temps, ce qui m'a fatiguée c'est l'anxiété et la tristesse provoquées par le premier échec, je n'ai pas envie de rester trop longtemps dessus…
Je vais aller faire une séance de psy pour parler de l'échec du premier transfert (je ne parle pas vraiment de PMA avec mon entourage) et je pense aller faire un massage pour arriver bien détendue. L'acupuncture, c'est génial si ça te fait de l'effet! Si tu penses que cela peut t'aider à bien aborder le transfert, et si tu peux faire l'effort financièrement, cela vaut peut-être le coup de reprendre. Mais je comprends très bien l'effort financier, j'habitais en Ile-de-France avant de déménager en province et la moindre consultation coûtait 100 euros.
Mon cycle a commencé hier, je suis donc repartie! Je vais quand même essayer de reparler à ma gynécologue pour m'assurer que la fatigue ne va pas bousiller cette dernière chance.