Un bébé "absolument" ??

[Azerty]

Bonjour à tous,

nous venons d'apprendre très récemment (2 semaines) que nous nous pourrons avoir de bébé que par FIV, et la gynéco veut même passer direct à la ICSI... (le soucis est plutôt chez mon mari)

Quand je lis ce forum (qui m'apporte beaucoup de réconfort !), je constate que vous semblez toutes très déterminé dans votre projet de bébé : la question est "comment faire", "quand arrivera-t-il", mais pas : un bébé oui ou non...

Moi j'ai toujours eu peur de l'idée d'être enceinte et encore pire de l'accouchement et encore pire de pas savoir m'y prendre avec un nouveau-né... Depuis 2013 je ne prenais plus la pilule "pour laisser sa chance au hasard", mais je n'avais pas plus de volonté que ça.
C'est surtout mon mari qui veut vraiment vraiment des enfants...

Alors je pensais que si ça marchait pas, c'est parce qu'au fond j'en voulais pas vraiment (vous savez, le fameux : "mais c'est dans la tête ! Quand tu seras prête ça viendra tout seul !")...

Maintenant je sais que non, ça ne viendra jamais "tout seul", pour avoir des bébés, il faudra subir 1 ou plusieurs FIV et c'est très dur de trouver la force de se lancer.

Je suis pleine de doutes, c'est terrible...

Est-ce que d'autres ont été dans mon cas ??

Merci d'avance de votre aide...

[Clara35]

Bonjour Azerty,

je ne suis pas dans ton cas, moi j'ai toujours voulu avoir des enfants, je rêve d'une famille nombreuse... 3ans d'essai, et rien, et puis en avançant dans les examens, les médecins ont trouvé le problème, alors je suis rentrée en PMA. On m'a proposé de suite une FIV ICSI et finalement mon gynéco a préféré commencer par les inséminations pour ne pas "bruler les étapes" j'en suis à la 3ème et dernière tentative avant la FIV, j'ai l'impression d'avoir perdu du temps et quand on m'a dit que la FIV était la solution pour moi j'ai dit "allez c'est parti on le fait on y va" puis les traitements pour l'insémination ont commencés et j'ai eu bcp de doute quand à ma capacité à encaisser une FIV, des traitements plus lourds, une anesthésie...
Mais à chaque tentative négative je me suis sentie plus forte, plus combative pour passer à l'étape supérieur. Depuis plusieurs mois je n'ai plus de doute, j'ai tellement envie de cet enfant que j'endurerais la douleur quelle soit physique ou morale mais ça n'appartient qu'à moi.
C'est un parcours suffisamment éprouvant réfléchi bien à ton envie profonde ou pas, tu ne peux pas endurer tout ça juste pour faire "plaisir" à ton mari, si tu te lance tu aura des moments de doutes, des hauts et des bas c'est certain mais si tu te sens prête tu y arriveras et tu passeras au dessus.

[Azerty]

Merci pour ton témoignage Clara35, tu as raison, il faut que je le veuille vraiment pour pouvoir accepter tout ça, sinon je ne ferai que de faire des reproches et de la rançoeur vis à vis de mon mari, et c'est pas des conditions pour avoir un bébé !

"S'il m'aime, il attendra" : ça s'applique aussi pour faire des bébés, non ?!

[Rosina14]

Salut Azerty,

Je me retrouve bien dans ton post dans le sens où savoir que je vais devoir passer par une fiv m a apporté beaucoup de doutes et de questions et parfois je me sens en décalage avec toutes celles qui sont déterminées à passer par tous les étapes de la fiv pour avoir un bébé...

J ai toujours été sûre de vouloir un enfant je ne me suis jamais posée de questions, meme si déjà se lancer dans les essais m avait apporté quelques angoisses. Du coup, j ai beaucoup de mal à digérer l annonce de la fiv, et je'me suis demandée si j étais prête à endurer tout ça. Alors comme je pense que c est important que les choses soient claires pour se lancer dans ce parcours car c est super dur et éprouvant, j ai décidé de consulter un psy pour essayer de comprendre d ou viennent ces doutes ces angoisses, car j en viens aussi à me demander " est ce que je veux vraiment devenir maman?" Je me demande si c est la peur qui me fait me demander ça ou si c est vraiment ce que je ressens. J ai décidé de prendre un peu de temps, quitte à repousser la fiv car je ne veux pas me précipiter, je veux être sûre de moi avant de me lancer.

si tu peux, essaie de prendre un peu de temps pour réfléchir à tout ce que tu ressens, et à ce que tu veux TOI dans le fond...si tu peux n hésites pas à parler de ton ressenti avec ton conjoint ou avec quelqu'un d extérieur...quitte à mettre ce projet de côté pendant un temps si tu en ressens le besoin.

Bon courage

[Azerty]

Salut Rosina,

ça fait plaisir de trouver quelqu'un dans le même cas !

Finalement on en a bien discuté avec mon mari (disons : on s'est totalement engueulé, puis une fois la crise de larme et les reproches dans les deux sens épuisés, on a commencé à avoir une discussion constructive...).

Il m'a surtout dit qu'il voulait pas que je fasse ce bébé "pour lui", mais bien "pour nous". Il m'a dit qu'il pouvait rien faire à ma place pour la FIV et qu'il se sentait inutile et impuissant pour ça, mais qu'il était prêt à arrêter de travailler quand on aurait un bébé pour s'en occuper et que je puisse continuer à travailler (en Allemagne c'est très compliqué de faire garder un bébé de moins d'un an, donc généralement les mères arrêtent de travailler...). Sachant qu'on est tous les deux ingénieurs et qu'on adore nos boulots, pour moi c'était un peu la "double peine". Donc qu'il me dise qu'il était prêt à arrêter de travailler pour donner des biberons et changer des couches (et je sais que s'il l'a dit, c'est vraiment sincère et qu'il le fera), ça m'a beaucoup aidé. Je me suis dis qu'il était vraiment prêt à s'engager à fond et la répartition des tâches me semble plus équitable maintenant.
Alors j'ai décidé de commencé le traitement. Là j'en suis à mon 3ème jour de piqûre et franchement je n'ai aucun effet désagréable, au contraire le 1er jours j'étais sur un petit nuage de bien-être !
Je sais pas trop comment notre affaire va continuer, mais je me sens beaucoup mieux depuis que la décision est prise, et lui aussi.

Je pense que j'aurais pu passer encore 10 ans à me poser des questions sans jamais trouver les réponses, c'est un sujet si compliqué... Mais probablement que si la première tentative est un échec, je demanderai un peu plus de temps pour recommencer.

Je pense que t'as raison d'aller voir un psy si t'as le temps pour celà, j'aurais bien aimé prendre ce temps pour réfléchir aussi.

Qu'en pense ton mari ? Parce qu'au fond, on est quand même dans le même bateau...

a++

[Rosina14]

Salut,

C'est bien que vous ayez eu une bonne discussion ou vous avez pu mettre carte sur table c'est important. Et si maintenant, tu as pris la décision avec laquelle tu es en accord c'est une très bonne chose, et tu dois être plus sereine pour faire face à tout ca. Je vois que pour le moment tout se passe bien au niveau du traitement, c'est déjà rassurant je trouve En tout cas, je te souhaite que cela marche du premier coup !

Par contre, tu dis que tu aurais bien aimé prendre le temps aussi pour réfléchir, tu ne pouvais pas?
Je vois que tu vis en Allemagne, les délais sont courts? Nous, la fiv n'est pas programmée avant mai. Je ne suis pas pressée pour le moment, ca me laisse un peu de temps, et comme j'en ai besoin...mais je pense que si je suis toujours pas prête en mai, on repoussera...Même si des fois, je me dis peut être que je ne serais jamais sure au final, enfin on verra, chaque chose en son temps !

Sinon, j'ai de la chance d'avoir un conjoint très compréhensif là dessus, dans le sens ou il comprend mes doutes par rapport à la fiv, et au fait que je ne sois pas sure de vouloir passer par tout ca, et il l'acceptera si je ne le souhaite pas.
Après c'est dur, car je sais qu'il a très envie d'être papa, et c'est vrai que je me mets beaucoup de pression vis à vis de lui, ou je me dis "j'ai pas le droit de ne pas me sentir capable", mais la psychologue m'a bien dit qu'il ne fallait pas que je me mette entre parenthèse pour répondre au désir de quelqu'un d'autre et qu'il fallait que j'écoute ce que je ressentais, donc c'est ce que je fais...et il me soutient. Même si je me culpabilise quand même toujours !

A bientôt !

[Azerty]

Salut Rosina,

en fait j'ai pas vraiment eu le temps parce que justement, je vis pas encore en Allemagne mais je vais bientôt partir. C'est ce départ qui nous a poussé à finir nos examens "avant de partir" pour savoir si on avait un problème ou pas. Donc le 16 janvier on a rendez-vous chez la gynéco (mon mari était là aussi), elle nous apprend qu'on aura jamais de bébé couette, mais qu'on aura de bonnes chances avec une FIV ICSI. Je lui répond que dans 6 semaines je dois être à Berlin et que j'aurais plus de sécu ni de mutuelle Française et plus beaucoup de temps libre (actuellement je suis dans une boite en train de fermer, donc je suis très disponible, après je retrouverai un vrai boulot !). Donc pour moi c'était mort de faire ça avant de partir, mais elle a dit que non, si on se décidait rapidement, c'était jouable.
Vu que ça me semblait ultra galère à faire en Allemagne (je parle très mal allemand et en plus ils ont des réglementations différentes et beaucoup moins facile et favorables).
Donc j'ai pas eu beaucoup de temps pour réfléchir : soit c'était "facile" tout de suite, soit ça allait être carrément galère "plus tard"...
Faire la stimulation + ponction, ça me faisait pas trop peur, par contre être potentiellement enceinte tout de suite ça oui, ça fait flipper ! J'ai demandé à la gynéco si c'était possible de congeler tous les embryons et faire l’impanation plus tard, elle a dit que oui, mais que si on a peu d'embryon ça serait très dommage de risquer de les perdre en congélations.
ça m'a rassuré de savoir que j'étais pas "obligé" d'aller jusqu'au bout. Donc on verra après la ponction ce qu'on fait.
En fait, je suis contente de m'être lancée, je me sens tellement mieux maintenant que les choses sont lancées...

Moi aussi mon mari est compréhensif, mais je sais qu'au fond il ne pense qu'à être père, donc si je disais non je culpabiliserai vis-à-vis de lui... Et je sais pas franchement combien d'année encore il est prêt à "attendre"...
Avoir un bébé c'est une décision tellement importante et impactante pour toute la vie que ne pas être d'accord sur un sujet pareil ça peu faire qu'éclater un couple. Nous en en avait discuté depuis longtemps et on avait dit qu'on voulait des bébés, 10 ans après et une fois mariés, un peu difficile de lui dire que finalement non, j'en veux pas...

Dans les questions que je me suis posées et qui m'ont aidées :
- Si j'étais célibataire, est-ce que justement mon inquiétude la plus forte ne serai pas de ne pas pouvoir avoir de bébé ?
- Si lui ne voulait pas de bébé, est-ce que j'accepterai cette décision ? -> et franchement, je pense que si c'est pas lui qui insistait, ça me ferait probablement peur à l'idée de ne jamais en avoir...
- Prenons l'hypothèse qu'on aura jamais d'enfant, comment je vois le reste de ma vie ? Est-ce que ça me convient comme vision ?
J'ai essayé de le sortir de mes réflexions et de me recentrer sur moi et j'ai réalisé que oui et oui, dans le fond je ne me vois pas finir ma vie sans avoir eu d'enfants...

Quand j'ai dit à ma mère qu'on pourrait pas avoir d'enfant "naturellement", elle m'a répondu qu'elle ne me voyait pas vraiment avec un bébé. En même temps quand ma sœur m'a dit qu'elle était enceinte, je la voyais pas du tout mère non plus et au final elle a l'air très heureuse avec ses 2 garçons.

Bonne chance dans tes réflexions, c'est vraiment pas des sujets faciles...

A bientôt,

[Rosina14]

Effectivement, tu t'es retrouvée dans une situation qui demandait de se décider vite...et c'est vrai que faire ca dans un nouveau pays avec des règles qui différent sans parler de la langue, pas évident ! Sinon, cela demandait de prendre un peu de temps pour prendre ses marques avant de se lancer dans tout ca. Mais en tout cas je comprend bien ton dilemme, moi même je viens de déménager, j'ai changé de ville tout récemment (à 7h de ma ville d'origine) mais bon toujours en France, et déjà je me sens moins à l'aise que si ca avait eu lieu dans ma ville, car c'est beaucoup de changements d'un coup, et faut pouvoir gérer derrière ! Donc déjà l'adaptation dans la nouvelle ville, puis tout le programme en parallèle, c'est double angoisse je trouve ! Et effectivement, si tu te sens pas prête pour le transfert après la ponction, c'est rassurant qu'elle t'ait dit que cela pouvait être congelé pour plus tard. Moi cela me rassure quand je sais que j'ai la possibilité de dire non à un moment donné dans le programme, pour ne pas me "sentir obligée" justement, c'est ce que tu dis dans ton message, et je me retrouve bien dans cette phrase. En tout cas, si tu te sens sereine, c'est une très bonne chose

En tout cas, félicitations pour ce nouveau travail en Allemagne, ce sera dans tous les cas une expérience enrichissante!

Sinon, pour les questions, c'est bien que tu te les sois posées. Nous aussi, on a toujours vu notre vie avec des enfants , c'est pour ca que je me dis comme toi je peux difficilement prendre trop de temps, ou dire qu'au final je n'en veux pas. Surtout que dans le fond, je me vois pas sans enfants, j'en ai toujours voulu, mais pourtant savoir qu'on doit passer par une fiv pour en avoir cela soulève de nombreuses angoisses, des peurs des doutes comme si cela avait remis en question ce que je pensais sur avant. C'est pour ca que je me dis, la psy ne peut que m'aider à comprendre le pourquoi de ces angoisses, afin de me permettre d'être plus sereine dans ma décision quelqu'elle soit.

N'hésites pas à me tenir au courant si tu le souhaites !
A bientôt

[Azerty]

oui moi pareil, dans le fond j'étais "consentante" depuis longtemps, puisque j'avais arrêté la pilule depuis 2013, mais entre "accepter que ça arrive tout seul" et aller risquer de se pourrir la santé avec des hormones dans tous les sens, l'hospitalisation sous anesthésie générale pour aller se faire piquer les ovaires et tout ça, il y a une sacré différence !!
D'ailleurs avec mon mari, avant de "savoir", on s'était dis qu'on préférerai se lancer dans une adoption que dans un processus médical, mais bon, le jour où en est en face de la réalité et que la gynéco dit qu'on a de grandes chances que ça marche, on s'est dit qu'il fallait au moins essayer. (Le père de mon mari a été adopté dans les années 50 ainsi que 2 de ces cousins, aucun lien génétique, mais sa famille connait ça...)

Cet après midi j'étais très très mal, mal de ventre terrible, j'ai même appelé le 112 (1ere fois de ma vie...) pour demander conseil à un médecin s'il fallait pas que j'arrête le traitement. Sachant qu'aujourd'hui à J6 je devais en plus commencer à ajouter une seconde piqûre d'Orgalutrant. J'ai fini par avoir un médecin au téléphone (tout a été très rapide et franchement merci les services de secours de notre beau pays...), qui m'a dit que c'était tout à fait "normal" d'avoir si mal et qu'il fallait continuer le traitement... J'ai demandé ce que je pouvais prendre pour calmer la douleur : Spasfon et Advil. Mon mari est allé à la recherche d'une pharmacie de garde pour me trouver ça, et vive l'Advil qui m'a totalement arrêté la douleur (4h que je suis mieux, ouf !). Et franchement au milieu de la douleur, j'ai dit à mon mari que je tiendrai pas 3j comme ça et si c'est vraiment "normal" cette souffrance j'arrêterai...
Je ne doute pas que quelqu'un de plus décidé que moi serait beaucoup plus capable de supporter cette douleur "pour la bonne cause".

Comme le disait Clara ci-dessus, pour supporter tout ça il faut vraiment de la volonté. Moi je ne sais pas encore comment les choses vont continuer, mais je ne pense pas que je serai capable de trop endurer. Tant que ça va à peu près je continu, mais je sens bien que je n'ai pas la volonté qui transporte les montagnes...

Toi aussi tiens moi au courant de tes avancées dans ta réflexion et de tes discussions avec ta psy si tu le souhaites, je t'aiderai avec grand plaisir dans cette épreuve si je le peux.

[Rosina14]

Alors déjà quand je te lis, je me sens vraiment moins seule. Je me retrouve tout à fait dans ce que tu dis, et c'est vraiment rassurant, car j'avais l'impression d'être la seule à ressentir tout ca des fois...!

Je suis totalement d'accord, entre accepter que cela arrive tout seul ou se lancer dans tout ce processus éprouvant super difficile pour notre corps et notre santé, la différence est énorme et on en vient à se poser plus de questions...

Si finalement, je ne souhaite pas passer par toutes ces étapes, nous souhaitons adopter avec mon conjoint, on en a déjà parlé, et il est d'accord. Ca me rassure...car beaucoup ne sont pas forcément pour l'adoption, cela dépend vraiment de chacun. Des fois, je lui demande si finalement je ne souhaite pas passer par un fiv, si il envisagerait de me quitter...car ca m'inquiète beaucoup, et je me dis que limite je lui gâche sa vie à douter autant, mais à chaque fois il se montre rassurant.

Sinon, quand tu dis que tu n'es pas sure que tu pourras endurer trop de choses, je ressens exactement la même chose, c'est aussi pour ca que je préfère à repousser un peu la fiv. Dans l'état d'esprit d'aujourd'hui, je ne me sens pas assez sure de moi, je n'ai pas suffisamment de volonté, je me sens pas assez forte psychologiquement et physiquement pour passer par toutes ces étapes. A chaque fois, je suis très admirative des personnes du forum qui sont prêtes à soulever vents et marées pour avoir un enfant à la fin, limite qui comptent les jours jusqu'aux prochaines étapes... moi j'ai l'impression que je ne suis pas aussi déterminée, alors ca me faisait un peu culpabiliser.

J'espère que les douleurs que tu ressens vont vite passer ma pauvre...C'est bien que quelqu'un ait finalement pu te rassurer. Je pensais pas que le traitement était aussi douloureux. Après si cela perdure, il faudrait que ton médecin puisse t' expliquer pourquoi c'est si douloureux...Sinon, il a dit quoi ton mari quand tu lui as dit que tu n'étais pas sure de pouvoir continuer si les douleurs persistaient? En tout cas, il ne faut pas qu'on se culpabilise, chacun vit les choses différemment. Et te dis pas que quelqu'un de plus déterminée pourrait supporter tout ca, ca on sait pas.

Sinon, si vraiment tu souhaites faire une pause, pourquoi ne pas vous laisser une année le temps de vous installer, de vous adapter et ainsi te laisser le temps de prendre le temps?

En tout cas, merci beaucoup pour tes messages, et je n'hésiterai pas à partager pour le psy si des choses intéressantes en ressortent